Ce lundi matin, le soleil se leva de bonne heure. Malgrès l'heure, le soleil brillait déjà avec une forte puissance que les quelques nuages frisés étaient à peine visible.
Personne aurait pu croire qu'il avait plu la veille avec une forte intensitée.
Le calme reignait dans tout Paris qui est normalement si agité à cette heure. Un rayon malicieux du soleil se glissa par la fenêtre et reveilla Vanille.
Vanille gremela, poussa un soupire et s'étira. Elle sortit péniblement de son lit en évitant de tribucher sur la couette de son lit autant blanche que ses cheveux.
Comme par habitude, elle regarda l'heure sur la pendule chat au dessus de son armoire, pourtant, elle n'avait pas cour aujourd'hui. Elle pris un jeans et un décolleté noir de son armoire puis accoura à la salle de bains. Vanille n'avait pas à faire la queue devant ce lieu de toilette : ses parents étaient déjà partit travailler, ils étaient tout les deux boulanger et elle ne possédait pas de frére ni de soeur.
Elle se lava rapidement puis s'habilla. Elle se regarda dans le miroire, une jeune fille souriait. Elle avait la peau blanche ansi que ses cheveux court et ébouriffé. Ses yeux vert petillaient de joie; Vanille était bien contente que ce Lundi 1er mai soit ferier.
La jeune fille regarda à nouveau l'heure puis elle se précipita dans la cuisine. Elle egloutie un pain au chocolat et bu à toute vitesse son café avant de sortir de chez elle; la porte de l'entré se ferma dans un bruit assourdissant.
Elle marcha au pas de course, ses cheveux volaient au vent chaud du printemps. Une bonne odeur de muguet se baladait dans l'air doux de ce lundi matin.
Vanille s'arrete brusquement devant un stand de muguet tenu par l'une de ses amies.
-Salut, Hanna ! Cria Vanille qui, pourtant, était à deux pas de celle-çi.
-Salut ! Je suis ici depuis six heures du matin et je n'ai vendu que cinq bouquets ! Hanna avait dit cette phrases avec une sorte de moue et mélancolie.
Vanille soupira et s'assis près de son amie.
-J'ai encore révé de lui...Murmura la fillette aux cheveux blanc tout en s'assurant que personne d'autre écoutait.
Hanna soupira à son tours et se mis à enrouler entoure de majeur ses cheveux noir comme l'ébainne.
-Encore ? Va s'y, raconte moi tout !
Vanilla commença son réçit :
-Et bien, je marchais pésiblement dans la rue, il était assez tard et le soleil se couchait. Puis je l'ai vu ! il lisait sur un banc un livre. J'ai pris mon courrage à deux mains et
je me suis approchée de lui. Il m'a sourit alors je le fit également et la, il se pencha et...
-Hiiii !
Hanna se mis à hurler en voyant le garçon de la discution s'approcher près du stand de la fille.
-euh...Salut Mathieu ! Vanille rougie jusqu'au oreilles en voyant le garçon qu'elle aimait tant !
Celui-çi ne la calcula même pas et commença la discution avec Hanna.
Hanna avait de la peine de voir son amie si triste, Vanille aimait tant Mathieu mais il n'avait de regard que pour Hanna.
Hanna essaya tant bien que de mal de faire taire Mathieu qui partait dans des reçits abracadabrants de ses incroyables explois irréalisable.
Pendant ce temps, Vanille fixait du regard les voitures s'arretant au feu tricolore et qui, quelques minutes aprés, repartaient déjà dans leur course andiablée. Vanille resta une bonne dizaine de minutes dans ses pensées quand elle sursauta faute d'un miolement effroyable :
C'était Mathieu qui torturait un chat en lui donnant des petits coups de baton sur tête. Le pauvre Chaton se démmenait tant qu'il pouvait, puis, à bout de force, sortit ses griffes et les plantas dans la joue du vilain garnement. Hanna s'exclaffa de rire mais s'arreta aussitôt en voyant la tête de Vanille exsaspérée. Mathieu poursuivit le chat jusqu'a sur la route où il manqua de se faire faucher par une voiture. Inquiéte, Vanille accoura voir le garçon qui la repoussa aussitôt. Vanille tribucha sur la route et recevit un coup de pied maladroit de Mathieu sur son dos. Elle tomba de douleur sur la route mouillé. Une voiture ne vit pas Vanille et renversa la malheureuse. Le regards de Vanille se troubla, elle souffrait enormément puis sa vie se déroula devant ses yeux. Toute sa mémoire s'emmela, une forte emotion encore jamais connu par Vanille pénétrait dans son corp pâle, elle ferma les yeux et là...plus rien !
Hanna courru voir le corp interne de Vanille; Mathieu, lui, en profita pour s'évader par honte. Il savait que tout était de sa faute, il savait qu'a présent il était un criminel.
Soudainement, Vanille se vit sortir de son corp glacé et commença à s'envoler. Puis, il y a eu comme un blocage et Vanille flotta dans les airs au lieu de partir vers le ciel.
Hanna ramassa le corp ensanglanté de Vanille et le posa sur le trotoire. Elle ne pouvait s'empécher de pleurer, elle s'avait qu'il était trop tard et qu'elle ne verra plus jamais son amie.
Vanille regardait toute la scéne d'en haut. Elle cria mais Hanna ne l'entendit pas. Alors, Vanille s'assis à côter d'Hanna qui ne pouvait pas la voir et se mit à sangloter à ses côtés.
Aprés avoir pleurer toute la journée, Vanille essaya de trouver la raison pour la quelle elle était encore sur la terre et non dans le ciel. Pourtant, elle était belle et bien morte.
Elle avait beau parler, crier, hurler, personne ne pouvait ni l'entendre, ni la voir.
La nuit commençait à tomber et Vanille ne savait pas quoi faire à pars errer toute la nuit à la recherche d'une aide impossible.
Vanille s'arreta sur un banc et s'allongea en attendant que la nuit passe.
Tout d'un coup, Vanille entenda une faible voix qui lui parlait :
-Mais que fais tu donc sur un banc, seule, à une heure si tardive ?
Vanille se retourna et vit un jeune garçon qui tenait une lampe de poche...
-Attend ! Tu peux me voir ?! s'écria Vanille dans un sursaut.
Le garçon rigola de la "sois disante" blague de Vanille.
-Biensûre que je te vois, tu as du te tromper dans ta recette d'invisibilité ! répliqua le rouquet tout en s'esclaffant de rire.
-Je ne plaisante pas ! Ecoute, je sais que tu ne vas pas me croire mais c'est la pûre véritée...Ce matin, je suis morte, écrasée par une voiture !
Le garçon s'arreta soudainement de rire, il fixa la fille d'un air "elle est folle ou quoi ?".
-Je te le jure ! Dit Vanille qui commença à sangloter.
le garçon, embarrasé, ne su pas quoi faire et regarda le "fantôme" pleurer.
-Bon, dit soudainement le garçon, je veux bien te croire, où habitais-tu ?
-Je...J'habitant 37 rue Fandranelle !
Vanille pointa du doigt son domicile.
-Hm...Si tu es vraiment morte, tes parents doivent être au courant. Si je leurs dit que tu es devenue une sorte de fantôme, ils ne vont jamais me croire...
Vanille pris le garçon par les épaules et commença à le secouer.
-Tu crois vraiment que j'ai envie de rester sur terre ? Je veux partire au ciel comme les autres...je ne sais pas pourquoi mais je n'y arrive pas !
Le garçon ce mis à réfléchire.
-Il doit y avoir quelque choses qu'il t'empéche de partire...
-Sûrment...
Le garçon se leva soudainement du banc et dit à Vanille,
-Je ferais tout pour t'aider, à présent, on est un équipe !
Vanille s'embla génée de la réaction du garçon, elle l'avait cru plus mature.
-O...Ok...Marmona la jeune fille !
-Comment tu t'appelles au faite ?
-Vanille, réponda la dénomée !
-Moi, c'est Fly !
Vanille regarda bizzarment le garçon.
-Vrai...Vraiment ?
-Si je te le dit, dit Fly qui rougissait, je ne suis pas résponsable de mon prenom !
Vanille ne répondit pas, elle n'avait pas du tout l'intention de vexer le garçon.
Fly regarda sa montre et sursauta.
-Il très tard, viens vite chez moi !
Le garçon courru vers sa maison suivit de Vanille qui le suivait en flottant.
Fly frappa chez lui, une grosse dame lui ouvrit. Ses yeux de porc fixaient Fly qui avait peur que sa mère voie Vanille.
-Il est bien tard, entre !
Vanille et fly soupirèrent de soulagement et entrèrent dans la maison.
La salle d'entré était bien décorée, tout était bien rangé à sa place et il n'avait pas un grain de poussière.
Un vieu monsieur moustachu lisait le journal sur un canapé rouge, puis, il leva la tête.
-On étais tu passé ? dit furieusement le père de Fly à son fils.
-j'avais vu une forme bizzard devant la maison...C'ét...Ce n'était qu'un chien érrant.
Le père de Fly gromela une sorte de "Humf" et tourna la page de son quotidien.
-Regarde chèrie, une petite fille fille nomée Vanille Karint est morte aujourd'hui, renversée par une voiture.
Fly eu un bond soudain et sentit son coeur s'emballer.
-Elle avait qu'a faire un peu plus attention ! Répondu la femme du monsieur comme si l'évenement était sans importance.
Fly, énervé, monta dans sa chambre accompagné de Vanille.
Quand Fly ferma la porte, Vanille lui dit clairement :
-J'ai eu comme un présentiment, tout va se jouer cette nuit !
-Qu'allons nous donc faire ? Demanda Fly.
-Si je ne suis toujours pas aux cieux, c'est sûrment parce que j'ai oublié de faire quelques choses pendant ma vie ! Dit avec determination Vanille.
-Quesque cela pourrait bien être ? On devrais faire une liste de l'évantuel blocage, tu me dictes !
-Et bien, il faudrait peut'être que tu ailles avertire mes parents, il faudrait aussi aller consoler Hanna et lui donner ce pendentif et en dernier, donner une bonne leçon à Mathieu.
-Peut-être aussi qu'il faut que tu fasses aussi de petites choses avec un rouquet ! S'écria Fly avec un regard à donner froid dans le dos.
-Ne rêve pas perver ! S'écria Vanille avec une sorte de colère et amusement.
-Bon, on doit faire tout sa cette nuit avant qu'il ne soit trop tard ! Tu es prête ? Demanda Fly qui prena cette péripécie comme un jeu.
-Biensûre, allons-y !
Vanille s'appreta à ouvrire la porte quand Fly la remis à l'ordre.
-Il vaut mieu attendre que mes parents soient couchés avant de partire !
Ils attendirent environs une demie-heure et en profitèrent pour mieux se connaitre.
-Je crois qu'ils dorment, on peut y aller ! chuchota Fly à Vanille.
Quelques minutes aprés, il étaient déjà dehors, le temps commençait à se refroidire.
Fly frappa à la porte des parents de Vanille, une petie dame ouvrit la porte; ses yeux étaient rouge à force d'avoir pleuré.
-C'est au sujet de votre fille, elle est à cot...
Vanille fit signe de se taire à Fly.
-Euh...Je veux dire, elle m'a dis de vous dire cela si elle mourrais : Elle vous aime enormement et elle ne veux pas vous voir triste.
-La mère de Vanille sourit entre ses larme, murmura un "merci" et referma la porte.
-Une bonne action de faite ! Dit Vanille comme pour évacuer sa tristesse. maintenant, il faut aller voir Hanna !
Hanna habitait dans un immeuble à l'autre bout de la ville, son appartement était voisin avec celui de Mathieu.
-C'est...C'est ici ! Dit Vanille essouflé.
-Enfin, dit Fly en sueur.
-Ha, oui...L'immeuble n'a pas d'ascenseur et Hanna habite au 5éme étage.
Ils montèrent tant bien que de mal les escaliés.
Flya frappa à la porte de la maison d'Hanna.
Un monsieur gros et poilu ouvra la porte avec une force fénoménale.
-C'est pour quoi ? On a besoin de rien !
Le monsieur commenca à fermer la porte quand Fly s'écria,
-C'est pour Hanna, au sujet de Vanille !
Le monsieur changea immédiatement de regard et appella Hanna avec une douce voix; on aurait dit que ce n'était pas le même homme.
Hanna arriva en pleure.
-Salut, je m'appelle Fly, je voulais donner quelque choses, de la pars de Vanille !
Il lui tendit un collié où il y avait écris "best friend"; en voyant le bijoue, Hanna pleura de plus belle !
-Ne pleure pas, je suis sûre que Vanille ne voudrait pas que tu pleures, elle te concidairait comme sa meilleure amie et elle ne veux pas que tu sois triste !
Hanna fit un signe de tête et referma la porte sans rien dire.
Vanille avait les larmes aux yeux et elle commença à sangloter.
-Ne pleure pas, il nous reste peu de temps !
-Tu...Tu as raison. Dit Vanille en frottant ses yeux.
-Tu as une idée de "farce" que l'on pourrais faire à Mathieu ? Quesqu'il t'a fait au faite ?
-C'est lui qui m'a tué, cria Vanille enragée.
Fly ne pu rien dire qu'elle traversa la porte de la maison de mathieu.
Elle penetra dans sa chambre où Mathieu lisait paisiblement une bande dessinée sur son lit !
Vanille s'approcha de la lampe de chevet du garnement et eteignit la lumière, la ralluma puis l'eteignit de nouveau.
Mathieu commença à frissonner, il savait à présent qu'il n'était plus le seul dans la pièce.
-Il...Il y a quelqu'un ?
Vanille pris les feuilles de cours de Mathieu et les lança, ensuite elle pris tout les livres de sa bibliothéques et les jeta sur les sols.
De peur, Mathieu sortit de la chambre en courant en appellant à l'aide.
Vanille ressortit de la maison de mathieu l'air dessus.
-On a du se tromper quelques pars, j'ai fait tout ce qu'il me semblait le plus important et je suis toujours sur terre.
-Tu veux vraiment partire ? Demanda Fly l'air triste.
-Je ne peux pas faire autrement, je ne supporterais pas de rester éternellement invisible.
Tout d'un coup, Fly serra Vanille dans ses bras et embrassa Vanille.
Elle resta longuement les yeux grand ouvert puis descida de les fermés.
Elle sentie encore un nouveau sentiment mais plus intense que le premier, elle avait l'impression qu'elle n'aurais plus jamais de probléme.
Elle sentie des larmes chaudes couler sur les taches de rousseur de Fly.
Elle avait enfin compris la raison pour la quelle elle n'était toujours pas aux cieux et également la raison pour la quelle Fly pouvait la voir et l'entendre.
Vanille n'avait jamais connu le grand amour avant ce jour et cela l'empéché de partire.
Vanille se sentie s'envoler; Fly ouvra les yeux, il n'y avait personne...
Il comprit et ce mit t'a pleurer.