Comme vous le savez, j'écris trééééééééééééééééèèèèèèèèèèès bien ^O^
Mais j'ai souvent la flemme de finir mes histoires commencer
Alors j'ai eu une idée ( non, c'est vrai ? [ ironie total ] ):
Fait pleins de nouvelles (histoires courtes) et il y en aura pour tous les gouts ^^
1)
Monsieur le Merle Monsieur le Merle vivait dans une ferme en compagnie de sa femme et ses seps enfants.
Il était à moitier chauve et portait d'assez grosses lunettes qui lui prenait plus de la moitier du visage dout son sûrnom donné par les gamins du village : la taupe. Contrairement à lui, sa femme, était assez séduisante.
Monsieur le Merle, détésté tout ce qui se rapprochait de plus ou de moins à la ville, il avait justement interdit l'accés de sa maison aux personne trop "moderne" à son gout. Dans l'esprit de cette idée, lui et sa "petite" famille, se nourissaient exclusivement des produits fournis par leurs récolte et ne pouvaient survivre sans leurs fermette qui remplissait chacun de leurs besoins. Mais un jour, Monsieur le Merle ressus une lettre plutôt inhabituel de son frére :
Chére frére,
Ce week-end moi et ma femme seront absent, nous sommes invitez à une fête chez les Dubono.
Malheuresement, notre fils, Julien, ne pourra pas y aller.
Malgrés nos appelles incéssant chez sa nourrice, elle refuse de le garder...Ce qui est de même pour nos parents etc.
Il est vrai que notre fils à une personnalité...Unique...
Malgrés sela, nous aimerons que tu garde notre Julien pendant cette courte période.
Merci de nous rappelez.
Ton frérot Monsieur le Merle manqua de tomber à la renverse, ce qui n'était pas favorable pour son rhumatisme.
-Quoi, mais...On ne se parlent plus depuis bientôt un mois !! marmona-t'il, et quel manière : week-end, frérot... ! Il fit une horrible grimace, comme si on'allaient accepté !
Il posa la lettre avec fureur et descendi les escaliers beuglant comme un fou : Antoinette !!! ANTOINETTE !
La dénomé "Antoinette" acourru le voir,
-Ques t'arrive ? bredouilla sa femme.
-Il m'arrive que mon frére veut qu'on garde son frangin !!
Il l'avait dit avec une tel rapidité et fureur qu'il du le répéter à sa femme pour qu'elle compréne enfin.
-Et...Bien gardons ce petit, dit elle dans un soupir de désception.
-COMMENT ?? Il n'en ai pas question, hurla monsieur le Merle.
-Il le faut bien, il y a pas si longtemps, j'ai emprunter une parure à sa femme et je ne le lui est jamais rendu, répondu sa femme en rougissant jusqu'au oreille, et puis deux jours se n'est pas si long...Les enfants auront un nouveau copain.
Monsieur le Merle hésita, ronchonna, grogna, bouda, fit mîme de ne plus vouloir parler à sa moitier si le morveux resterait ici, puis finit par seder dans un grand regret.
Les jours passèrent et plus la date du grand jour approchait plus monsieur le Merle frissonait. Il imaginait Julien comme une horrible créature nourris aux frites et à la mayonnaise...Il n'était pas loin de la vérité...
Ce fut enfin le jour "J", monsieur le Merle et sa femme était sur leur 31, ils avaient plus l'air d'hommes d'affaires que de fermiers.
Puis, un coup à la porte se fit retentir, monsieur le Merle ouvrit la porte.
Il vu son frére, toujours bien coiffer, la moustache en brosse et son autentique costume cravate. Julien, lui, était un peu plus exentrique, il portait une veste à la pointe de la mode, un vieu jean's usée décousu et recousu à certains endroit et pour finir de belles chaussures de marque à damier.
-Bon, je te le laisse, frérot, dit il en reculant de peur que monsieur le Merle refuse au dernier moment.
Monsieur le Merle fit retendGrmbl